Topic Basket/NBA : rebooting the league...please wait.

Démarré par Bakappoi, Mai 10, 2012, 07:40:11 PM

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Pougli Kun

Quand j'me rappelle qu'il y a une grosse dizaine d'année Tony Parker débarquait en NBA (enfin j'crois qu'il y avait déjà eu 1 ou 2 français avant nan?) et là même les remplaçants de l'EdF jouent aux States, ça a bien changé :o

C'est quoi d'ailleurs la raison de l'augmentation du nombre d'étranger? Moins de réticence de la part des Américains? La hausse du niveau général en dehors des USA avec de nombreuses vocations crées par le rêve vendu par Magic, Jordan et les stars US de la fin 80's/90's?

Ou limite une stratégie marketing pour vendre plus facilement encore la NBA à l'étranger? :nerd:

Bakappoi



Bakappoi

j'ai vu ça au reveil. au départ ça incluait gasol dans le trade j'étais pas content du tout, mais là en fait, ça passe mieux. même si howard, je sais pas, surtout après son opération au dos...faut voir si la répartition des rôles se fait bien. si on a gasol qui se concentre sur l'attaque et howard sur la défense, ça peut être sympa.
en plus c'est un deal qui beneficie aux 4 équipes, mais bien sur, y a toujours des gens pour crier au complot des lakers, comme d'hab'.

comme il y a des gens pour prendre ça au premier degré et insulter kobe et son arrogance:

Citation

Après un début de tournoi moyen, Kobe Bryant s'est réveillé lors de la deuxième mi-temps du quart de finale face à l'Australie. Mais ne vous inquiétez pas, le Black Mamba n'a jamais perdu sa confiance. Il se fâche d'ailleurs lorsqu'on dit qu'il est le meilleur joueur poste bas de l'équipe, si on enlève Tyson Chandler.

    « Non, non, non », rétorque-t-il à USA Today. « Même si on n'enlève pas Tyson Chandler. Je suis le meilleur joueur poste bas de cette équipe, c'est tout. Tyson Chandler n'est pas dans la conversation ».


Et quand on lui demande ce que ça fait d'être le vétéran de l'équipe, il voit également rouge.

    « Je suis là où tout le monde voudrait être. Je suis toujours là ».

Est-ce qu'il apprend toujours en jouant aux côtés de LeBron James et des autres membres de Team USA ?

    « Non. Je ne sais pas si je sais déjà tout, mais j'en sais plus qu'eux »
.

sinon:



:ptdr:

kurt rambis a le flow :cool:


Bakappoi

http://www.basketusa.com/news/123700/interview-tony-parker-en-bleu-jusquen-2016-pour-ramener-une-medaille-de-rio/

CitationInterview Tony Parker : »en Bleu jusqu'en 2016 pour ramener une médaille de Rio »

Deux jours après la défaite de la France en quart de finale des Jeux olympiques contre l'Espagne, Tony Parker est revenu, lors d'une conférence de presse organisée au Club France, sur le parcours de son équipe et a donné son sentiment sur l'avenir des Bleus.

Le meneur français est plus que jamais motivé pour revenir plus fort en 2013 et enfin battre l'Espagne.

Quel regard portez-vous sur votre parcours ?

Il y a deux façons de voir les choses. Tu es déçu parce que tu perds en quart de finale alors que tu as l'impression d'avoir dominé le match. On avait vraiment le match en main mais on n'a pas su mettre les tirs qu'il fallait à la fin. Donc ça c'est décevant. Mais après, quand tu réfléchis bien, on n'a pas eu une préparation facile. On n'a eu qu'un entraînement collectif avec toute l'équipe, je me suis entraîné que pendant dix jours. La préparation nous a tous rattrapé dans ce quatrième quart-temps parce qu'on était tous fatigué et qu'on a dépensé beaucoup d'énergie sur notre défense. On avait un schéma défensif pour les arrêter et c'est ce qu'on a fait puisqu'on les a tenus à 66 points. Mais voilà, à cause de notre mauvaise préparation, on n'a pas eu assez de jambes pour être performant en attaque. Donc oui, on est déçu de perdre en quart de finale, mais en même temps, si on regarde la préparation qu'on a eue, je pense qu'on a fait un bon tournoi.

Est-ce que c'est la défaite la plus frustrante de ta carrière ?

Non, je ne crois pas. C'est clair que c'est frustrant car on était tellement près. Mais en même temps, on se rapproche, on n'a jamais été aussi près de l'Espagne. Ils dominent le basket européen depuis cinq-six ans et il y a quand même pas mal de choses positives qu'on peut prendre de ce match-là. Surtout, on n'a encore une marge de progression. Ce n'est pas un problème d'expérience ou quoi que ce soit. C'est juste que ce n'est pas allé dans notre sens cette fois-ci. C'est ce qui fait la beauté du sport. Des fois c'est beau comme pour les filles et des fois c'est cruel comme pour nous. Je pense que notre heure viendra. Il ne faut pas oublier non plus qu'on avait pas mal d'absents. Je suis persuadé que sur les trois-quatre prochaines années, il y a de belles choses à faire. Et puis l'état d'esprit est trop bien dans cette équipe. Dès le lendemain de notre défaite, on parlait déjà tous de l'année prochaine. On est tous movité pour revenir et moi j'aurai encore cette flamme en moi pour jouer en équipe de France pour gagner un titre avant la fin de ma carrière.

Tu viens de mentionner les absents. À quel point le forfait de Joakim Noah a-t-il pesé dans le match contre l'Espagne ?

Il n'y a pas que Noah. Il y a aussi Rodrigue Beaubois, Ian Mahinmi, tout ça ce sont des joueurs qui peuvent nous aider, surtout dans une compétition comme celle-là. Quand tu arrives en quart de finale, c'est important d'avoir des grands. Tu ne peux pas gagner de titre sans avoir des grands. C'est vrai que Ronny (Turiaf), Kevin (Séraphin), Ali (Traoré) ont été extraordinaires sur ce tournoi. La façon dont ils ont joué contre les Argentins, contre la Lituanie. Je suis fier de toute l'équipe. Mais après c'est vrai que si un jour on veut aller jusqu'au bout, on aura besoin de tout le monde.


Comment tu te sentais physiquement contre l'Espagne ?

J'étais fatigué. Je n'ai jamais autant défendu. D'ailleurs coach Popovich m'a engueulé en me disant que j'avais intérêt à défendre comme ça à San Antonio. Il m'a dit en rigolant que je défendais plus pour mon pays que pour San Antonio. (rires) C'est vrai que j'ai dépensé beaucoup d'énergie en défense, c'était notre stratégie. Et ça a marché puisqu'on tient les Espagnols à 66 points. Mais le fait que je ne sois pas à 100 %, que j'ai eu une préparation un peu gâchée, c'est aussi une explication de ma fatigue dans le quatrième quart-temps. Mais je n'ai pas envie de me trouver des excuses, je n'ai pas mis les tirs, c'est tout. Je suis le leader de cette équipe, mes coéquipiers comptent sur moi pour mettre ces tirs-là et je ne les ai pas mis. J'assume. Je vais continuer à travailler dur et je peux vous promettre que je ne sortirai pas en boîte de nuit avant le championnat d'Europe. (rires)

Est-ce que tu te dis que certaines stars espagnoles ne seront pas là en 2013 et qu'il y aura donc plus de chances pour vous de devenir champions d'Europe ?

Non. De toute façon, je ne pense même pas à l'Espagne. Après le quart de finale, je suis convaincu qu'on peut les battre, même s'ils sont au complet. On peut les battre. Avec un entraînement collectif et moi seulement dix jours d'entraînement, on a mené tout le match. Donc je suis convaincu qu'on peut les battre. Je préfère qu'on se concentre sur nous car on peut encore progresser. C'est le plus important. Si on a tous la même motivation, qu'on met toutes les chances de notre côté en faisant une vraie préparation comme l'année dernière, je pense qu'on peut faire quelque chose.

Quand tu vois l'Argentine et Manu Ginobili à ce niveau, est-ce que tu te dis que c'est possible pour toi d'être à Rio à 34 ans ?

Oui, oui, bien sûr. Moi je suis motivé pour repartir sur un cycle de quatre ans. J'ai toujours dit que Rio serait ma dernière compétition avec l'équipe de France. Ce sera la dernière fois que vous me verrez avec le maillot bleu. J'espère terminer en beauté à Rio et pour ça, il faut justement qu'on utilise cette expérience qu'on a eue à Londres. Parce qu'il y a ma génération, mais il y a aussi la génération de Nico (Batum) et il va encore y avoir d'autres joueurs qui vont arriver en équipe de France. Le mélange de tout ça pourra nous permettre, je l'espère, de ramener de Rio une médaille au basket français.


Pour ce nouveau cycle de quatre ans, c'est important de continuer avec Vincent Collet selon toi ?

Oui, c'est clair. On en a parlé avec l'équipe, on veut tous que Vincent continue car on pense que c'est l'homme de la situation. Moi j'ai vraiment envie de continuer avec un coach qui a vécu justement la défaite en finale (du championnat d'Europe 2011) et cette défaite-là car il a la même douleur que nous et aura aussi faim que nous pour aller chercher la victoire.

TP est devenu un vrai leader n'empêche :laporte:

Bakappoi

http://www.basketusa.com/news/123729/kevin-love-tyson-chandler-souviens-toi-lhiver-2000/

CitationKevin Love – Tyson Chandler : souviens-toi l'hiver 2000 !

A la veille de la finale olympique que toute la planète basket attend depuis Pékin, l'équipe américaine aura bien besoin d'un secteur intérieur au sommet de son art pour contrer la fratrie Gasol renforcé de Serge Ibaka. Et deux de ces membres importants, Tyson Chandler et Kevin Love, partagent un lien assez incroyable. C'est ESPN qui raconte cette anecdote.

Pour s'en rendre compte, il faut remonter à l'hiver 2000. Chandler est alors une star de son lycée californien de Compton, Dominguez, et son équipe participe au fameux tournoi Les Schwab Invitational où les meilleurs lycéens du pays s'affrontent. Melo est d'ailleurs là aussi avec sa Oak Hill Academy.

Là où le destin s'en mêle, c'est que le tournoi qui accueille 16 équipes a lieu cette année au Memorial Coliseum de Portland. Les organisateurs se tournent alors vers les gamins des collèges environnants et le jeune Kevin Love, alors âgé de 12 ans, tire du chapeau le papier sur lequel était inscrit Dominguez.

Il va ainsi passer les 5 jours que dure la compétition à ramasser les rebonds pour Chandler, essayant dès que possible de parler avec lui.

    « J'ai suivi Tyson pendant toute une semaine. J'étais ce gosse de banlieue rondouillard qui pensait qu'un jour il pouvait être aussi bon que lui. »

Et avec le temps, les deux commencent à se chambrer.

    « Je serai en NBA un jour. Tu me demanderas un autographe un de ces quatre, tu verras. »

Le petit Love fait bien marrer Chandler.

    « Il était ce petit gamin potelé mais il était amusant. »


Janvier 2009 : Acte 2, scène 1

Après avoir raflé le titre de MVP du même tournoi trois ans plus tard – en étant le premier freshman à réussir cette performance, Love poursuit sa carrière en passant par UCLA. Et puis en 2008-09, il commence sa première campagne en NBA et lors du déplacement des Wolves à la Nouvelle Orléans en janvier, il vient à la rencontre de Chandler, en civil, blessé sur le banc.

    « Tu te souviens de moi ? »

Le pivot est interloqué, littéralement, sur son séant.

    « J'ai trouvé ça fou que ce même gamin était alors en face de moi, en NBA. »


Le mioche culotté d'Oregon a effectivement tenu parole. Mieux, il fait partie, comme Chandler, d'une équipe américaine olympique sur le point d'obtenir la récompense suprême. Un happy end à cette énième histoire à l'américaine ?

ils sont forts ces ricains quand même.

Bakappoi


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Bakappoi

parce que je ne pouvais rester aussi longtemps sur un post dédié aux celtics et que c'est son anniv':


NERDFOU


Bakappoi

Comparaison entre jordan et kobe





et sinon un petit graphique qui montre bien l'explosion des salaires au cours des années:


Bakappoi

une video qui explique la nouvelle attaque des lakers:


Bakappoi

maintenant que c'est un lakers, je peux bien faire sa promotion :cool:




Bakappoi


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