Les Postiers du Cinéma : Notes et critiques

[Pougli Kun]

Pour Nono, j'ai vu Scott Pilgrim et j'ai trouvé ça bien, je met ,

[glen]

The watch, d'Akiva Schaffer.

Bon, c'est pas la comédie de l'année, mais ils prennent tellement de plaisir à jouer les débiles :leuv:

[pippoletsu]

Et puis bon, Richard Ayoade > *

[glen]

Il est naze dans le film.

[pippoletsu]

[nash]

on a beau dire, chaque fois que Forrest Gump repasse à la télé, ça me tire toujours une petite larme

[Soda]

De rouille et d'os :mdr:

[glen]

Panique à Florida beach (Matinee - 1993), de Joe Dante.

Pas le plus connu des Dante, vrai projet personnel après Gremlins 2 (1990) et plusieurs séries TV, Matinee raconte l'histoire d'un producteur d'horror movies (Goodman, classix comme d'hab) qui profite de la crise des missiles cubains pour promouvoir son dernier opus.
C'est un vrai message d'amour à ses films fait de bric et de broc, et toutes les inventions (sensorama, odorama et cie) destinées à ramener le public au cinéma (bien avant la 3D). Le cinéma est vu comme un véritable spectacle et le parallèle entre le film d'horreur et l'angoisse de la guerre atomique attendue est bien foutue.
A (re)découvrir

[glen]

Holy Motors, de Leos Carax.

C'est vraiment wtf mais faut avouer que certaines scène interpellent J'ai pas tout compris mais je suis pas sûr qu'il y ait vraiment un truc à capter, enfin de manière générale. La mise en place (introduction) m'a beaucoup rappelé Mulholland Drive quand même :oo J'vois vraiment pas quelle note foutre donc je m'abstiens.

La prénom, d'Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte

Bon c'est pas si mauvais en fait, ça reste très convenu, y'a un côté vieux théâtre de boulevard/beauf, mais ça reste assez sympathique

[Baron.de.Münchhausen]

C'est quoi ce fameux prénom exactement ?

[glen]

en spoil pour ceux qui ne le regarderont pas

Spoiler

c'est adolphe, et en fait c'est une mauvaise blague, point de départ d'un gros lavage de linge sale dans le huis-clos d'un appartement parisien :dejavu:

[Fermer]

[glen]

Young Sherlock Holmes (1985), de Barry Levinson.

Certainement une des meilleurs productions du mythique studio Amblin, Spielberg donc (qu'on ne présente plus), Chris Colombus (qui avait déjà oeuvré sur les Gremlins et les Goonies.. RESPECT) au scénario et Barry Levinson (pour un de ses premiers vrais grands films) à la réalisation.
Le film n'a absolument pas vieilli, ou alors s'il a vieilli c'est à la manière de ces vieux meubles que le temps patine et embellit. Les effets spéciaux sont magiques : les animatronics sont nombreux et géniaux (Là aussi une des premières grosses productions de Stephen "Blade" Norrington avant qu'il n'aille bosser sur les FX d'Aliens, entre autres) et le film inaugure le premier personnage entièrement en image de synthèse au cinéma (et le résultat est loin d'être cheap, même 27 ans après).

Humour, magie, mystère, rebondissements, Londres sous la neige.. tous les ingrédients sont réunis pour faire de ce Young Sherlock Holmes un superbe "film de Noël". Pendant presque deux heures j'ai eu l'impression d'avoir 11 ans.
Si vous avez envie de rêver un peu en famille, avec des petits neveux ou nièces, lors des fêtes de fin d'année, je vous le conseille très fortement

Et autant dire que les décors (l'école dans le château), l'atmosphère magique et le trio d'amis, sans parler du look de Watson

Spoiler

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rappellent TRÈS fortement la saga Harry Potter dont les premiers films furent réalisés par.. Chris Colombus :miyamoto:

[pippoletsu]

Une merveille, je plus soie.

[Baron.de.Münchhausen]

Je l'ai revu il y'a peu également et effectivement le rapprochement avec Potter est indéniable.

[pippoletsu]

Morse sur Arte. toujours.