Equipe de France : Deschamps, des réservistes, des quenelles.

Démarré par Bakappoi, Mai 10, 2012, 07:38:26 PM

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Bakappoi

comme tout le monde si les journalistes en faisaient pas des caisses parce qu'on a osé s'attaquer à eux. worst.corporation.eva

Ashura

Et puis surtout ce sont eux qui racontent l'histoire, les mecs sont juge et partie donc c'est top niveau objectivité.

Bakappoi

quand je vois le feedback que mes parents ont de tout ça, ça fait peur ouais.

NERDFOU


glen

Le Graet ne voudrait pas entendre parler de DD.. Paul Le Guen est évoqué là, Bruno Carotti en EDF.

NERDFOU

Leguen, enfin un mec qui va savoir se faire respecter dans le vestiaire :cool:

Hobes

CitationDaniel Riolo @DanielRiolo
Deschamps en EDF, c fait. c pas la nouvelle du siècle, mais bon !

https://twitter.com/DanielRiolo/status/218103943476158467

Ca vaut ce que ça vaut.

Ashura

Citation« On mélange tout »
HUGO LLORIS, le capitaine de l'équipe de France, ne comprend pas l'amalgame entre quelques incidents et le comportement global des Bleus.

Après un Euro individuellement réussi et collectivement décevant, Hugo Lloris a accepté de nous donner son sentiment sur le parcours des Bleus, éliminés en quarts de finale par l'Espagne (0-2), samedi, et sur les polémiques qui entourent le comportement de certains joueurs.

« DANS QUEL ÉTAT d'esprit êtesvous rentré en France ?
– Avec la déception de l'élimination. Dans ces cas-là, il faut deux ou trois jours pour revenir à la réalité. On dépense une telle énergie, physiquement et mentalement, que la décompression est importante.

– Le retour en France est très différent de 2010 ?
– (Surpris.) Mais cela n'a rien à voir ! Ce sont deux situations complètement différentes. En 2010, on s'était mis en situation de faute professionnelle, avec tous les événements que l'on connaît, et au-delà de l'échec sportif le poids de l'extrasportif avait été considérable. Là, tout le monde a joué à fond, dans la préparation comme dans la compétition.

– Mais une seule victoire en quatre matches, après une série de vingt- trois rencontres sans défaite, ce n'est pas assez...
– Notre seconde période contre l'Angleterre ( 1-1) a été bonne, et on a bien maîtrisé le matchet l'orage contre l'Ukraine ( 2-0). C'était un très bon résultat. Ce qui nous a fait du mal, c'est le match contre la Suède ( 0-2). Même si on était presque qualifiés, on aurait dû jouer d'une autre façon. On a donné l'impression d'un relâchement, ce qui, contre une bonne équipe et à ce niveau, ne pardonne pas. Cette défaite a coupé notre élan dans la compétition, mais aussi notre série sans défaite. Entant quegardien, je l'aimais bien, cette série, elle voulait dire quelque chose. Contre la Suède, d'ailleurs, ce n'est pas tant le résultat que la manière qui nous a fait mal. On avait le talent pour conquérir la première place du groupe, et on ne l'a pas fait...

– Et vous êtes tombés sur l'Espagne en quarts de finale (0-2)...
– La force d'une grande équipe est de se relever très vite pour passer à autre chose, mais on n'a pas encore cette maturité-là. Et malheureusement, on est tombés en quarts de finale sur la meilleure équipe du monde. Le système de jeu qu'on a mis en place était intéressant, mais ce but après moins de vingt minutes a fait basculer le match. On a réussi de bonnes choses en seconde période, mais pas assez pour battre l'Espagne. On est tombés sur plus forts que nous.

– L'incident dans le vestiaire entre Hatem Ben Arfa et Laurent Blanc, après France-Suède, n'a-til pas fragilisé l'équipe ?
– Il faut considérer le contexte. Après une défaite, il y a de la déception, de l'énervement. Les altercations font partie de la vie d'un vestiaire. Sur le coup, ce n'est pas forcément constructif, mais c'est justement le propre des réactions à chaud. On dirait que ça n'arrive qu'en équipe de France et qu'à cette équipe de France. Mais c'est arrivé à toutes les générations, à tous les niveaux !

– Vous avez essayé d'intervenir en tant que capitaine ?
– Le plus important, dans une compétition comme un Euro, c'est de calmer le jeu pour que ça ne dérape pas. On a eu une discussion dans laquelle on s'est dit les choses, et on est repartis. Enfin, en théorie, cela suffit pour que cela reparte vraiment, mais la manière dont toute cette scène a été révélée et interprétée a malheureusement touché le groupe. Un truc comme ça doit rester dans le vestiaire. C'est aux joueurs de faire la part des choses et de faire en sorte que cela ne soit pas su immédiatement à l'extérieur. Parce qu'après tout va très vite, et ça ne rend service à personne, ni à l'équipe ni aux joueurs concernés. C'est notre vie de groupe, notre vie de vestiaire, ça ne regarde personne ! (Agacé.) C'est là que tout cela me dérange vraiment. Parce que ce n'est pas la première fois que ça arrive.

– Ce ne sont donc pas les faits, mais leur révélation qui peut toucher le groupe ?
– Oui, parce qu'entre nous, sans intermédiaire, les choses sont claires, et une fois qu'elles sont exprimées, elles sont oubliées et on peut continuer d'avancer. Mais l'extérieur, au lieu de les oublier, les interprète, et cela déteint forcément sur nous. Ce jeu d'interprétation et de fiction nous fait perdre de l'énergie. Avec Internet, on est au courant de tout. On sait qu'on a un groupe jeune et fragile. Après, la question est de savoir si ces fuites sont volontaires ou pas. On se demande, parfois. Celui qui balance ce genre de choses sait que cela va avoir un impact négatif sur l'équipe.

– Pour vous, ces scènes de vestiaire ne sont pas révélatrices de quoi que ce soit, un problème générationnel, d'autorité, ou autre ?
– Non. En tous les cas, ce n'est pas révélateur de ce qui a été dit. D'accord, Samir Nasri et Alou Diarra se sont pris la tête, mais le lendemain, ils se faisaient la bise pour se dire bonjour, comme d'habitude. Ce sont des rapports d'homme, tout ça est normal ! On peut monter dans les tours, on peut même en venir aux mains, je l'ai vu, mais là, ce n'était même pas le cas.

– Mais les insultes de Samir Nasri ne font pas du bien à l'image des Bleus...
– Après son but contre l'Angleterre, il a exprimé certaines choses. Cela lui appartient. Cela lui a peut-être joué des tours, d'ailleurs, parce qu'il s'est mis une pression supplémentaire, et son devoir de performance est devenu plus élevé. Le problème, c'est qu'il a été dans le viseur, et que cela a touché indirectement l'équipe. Ce n'est pas à moide dire si c'était bien ou pas, mais il a tout pour réussir, il n'a pas besoin de ça dans sa compétition. Après l'Espagne, c'était un problème entre lui et un journaliste, qui lui a dit "casse-toi". Je ne cautionne pas les propos de Samir en réponse, il s'en est excusé depuis, d'ailleurs. Mais je trouve inadmissible qu'on résume le comportement de l'équipe de France à (sourires), mais pas là, pas dans le feu de l'action.

– Aux yeux d'une large partie des observateurs et du public, ces incidents ont touché aux valeurs de l'équipe de France...
– J'ai l'impression qu'on mélange tout. Associer deux ou trois cas individuels à l'ensemble de l'équipe de France, ça me choque, oui. Sportivement, cet Euro n'a pas été parfait, deux matches seulement ont été positifs, et la défaite contre la Suède est vraiment dure à comprendre et à avaler, mais il faut juger l'ensemble de notre parcours depuis deux ans. On s'est redressés, on s'est qualifiés, on est restés sans perdre pendant vingt- trois matches, et en ce moment, on est en train de tout détruire. J'ai le droit de trouverça injuste. Toutes les sélections ont des cycles, et le cycle de deux ans dont nous sortons nous a fait passerun cap.

– Pourquoi n'avez- vous pas tenu ce discours pendant la compétition ?
– Parce que pendant la compétition, on se prépare à la performance, on n'est pas là pour se battre contre les rumeurs et la polémique. On dit que je suis lisse, je le sais, mais je suis là pour défendre le collectif. Et l'intérêt du collectif n'était pas que l'on parle de tout ça. Cela m'agace, en fait, de passer toujours pour le gars poli et gentil. Àce niveau, sur le terrain, il n'y en a pas ! Je ne suis pas timide, ni réservé.

– Vous seriez choqué si Jérémy Ménez était sanctionné pour vous avoir insulté ?
– Oui, vraiment. Parce que dans ce cas-là, il faudra moi aussime sanctionner. Il faut arrêter avec les gentils, les polis, ceux qui ont une bonne tête...

– Vous pensez vraiment que ce groupe-là peut être compétitif dans deux ans pour la Coupe du monde au Brésil ?
– J'en suis persuadé. La première des choses sera de se qualifier, dans un groupe avec l'Espagne. On a énormémentde talents, il y a des joueurs qui se sont révélés pendant l'Euro, d'autres qui ont montré qu'ils avaient le niveau international. Je le maintiens, nous avons avancé ! Et il faut penser aussi à l'Euro 2016 en France. Même si c'est un objectif lointain, même si nous sommestous de passage, cela doit être un moteur.

– Cela vous chagrinerait, du coup, de changer de sélectionneur ?
– Le bilan de ces deux années est vraiment positif. Dans le football, tout le monde a besoin de temps et de stabilité. Il faut de la continuité. Aujourd'hui, tout le monde adhère à la philosophie et au discours du sélectionneur. Le choix de la suite appartient au président et au sélectionneur, pas à nous. Mais on est favorables à la continuité. »


Lloris qui donne une leçon d'intelligence chez les principaux responsables de l'emballement médiatique, normal.

Futch


Sam


Spike Spiegel


Hobes

CitationBlanc : « Les négociations continuent »

Arrivé au siège de la Fédération française de football, dans le XV arrondissement de Paris, vers 10h30 ce jeudi matin, Laurent Blanc a bien rencontré Noel Le Graet, le président de la FFF afin d'évoquer l'Euro écoulé et faire le point sur son avenir. A la question « Avez-vous pris votre décision ? », il a répondu « Vous verrez bien » aux journalistes présents sur place.

Deux heures plus tard, le Président est sorti du bâtiment de la Fédération française de football. Le sélectionneur des Bleus va se rendre dans un restaurant pour déjeuner en compagnie de Philippe Tournon, le responsable des relations presse de l'équipe de France. A la question de RMC Sport : «  Avez-vous trouvé un accord avec Noël Le Graët ? », Blanc a répondu gentiment avec un large sourire : « Les négociations continuent, elles se poursuivront après le déjeuner ».

http://www.rmcsport.fr/editorial/272042/blanc-les-negociations-continuent/

D'après Infosport la tendance est au départ.

Bakappoi

#897
Lloris président :leuv:

ashura tu as le lien de l'article (si il y a lien), pour que je le balance sur facebook?

sinon vous croyez que lloris va subitement devenir une tête de turc aussi chez les journalistes? :afrojojo:

glen

ça fera un peu fermer leur gueule à tous les "Lorisse il a une petite voi, il peu pa ètr capitène :caverne:"

Bakappoi

ah oui c'est vrai que l'entreprise dénigrer lloris avait déjà commencé :lol: